Léonore Moncond'huy | Site Officiel

Maire, engagée pour l’écologie, la justice sociale et la démocratie.

En première Ligne

Faire de Poitiers une ville engagée et résiliente face au changement climatique. Une ville de résistance humaniste, engagée pour la justice sociale, et la dignité de toutes et tous. Une ville forte d’une démocratie vivante, qui redonne confiance en le pouvoir d’agir citoyen, et en la politique. Une ville coopérative, confiance en la richesse de ses ressources locales, au cœur d’un territoire jeune et dynamique.

Ce sont les ambitions que je porte en tant que Maire, avec mon équipe, depuis juin 2020. Un projet pour Poitiers, autant qu’un projet de société. Nous qui vivons le changement climatique à hauteur de femmes et d’hommes, nous qui assistons aux fractures sociales croissantes, à la déshumanisation des services publics, à la perte de confiance en l’action démocratique : nous refusons la résignation, et agissons pour reprendre en main notre avenir commun.

Des engagements que je porte au quotidien, depuis mon action municipale, jusqu’à l’échelle internationale, indispensable. Lors de la COP26, j’ai eu l’honneur de porter la parole des Maires, élues locales et élus locaux, les collectivités, tout en étant une voix de cette “génération climat” qui arrive aujourd’hui au pouvoir.

Parce-que nous sommes nombreuses et nombreux à avoir ces combats en commun, parce-que nous sommes des éclaireurs qui peuvent encourager le passage à l’action, je vous propose de partager avec vous quelques-uns de mes engagements, sur ce site.

Je fais partie d’une génération qui n’a pas connu la guerre dans ses frontières autrement que dans les cours d’histoire, ou dans les cérémonies mémorielles. Je fais partie de la deuxième ou troisième génération à qui l’on a enseigné la Seconde Guerre Mondiale et la Shoah,
Face au sentiment de déclassement qui nourrit la tentation de la violence, ou au contraire du fatalisme, et de la résignation, nous avons besoin d’une réponse éducative, culturelle, citoyenne, dans laquelle l’éducation populaire doit jouer un rôle majeur. Et cette réponse, c’est à nous de la construire.
Je fais partie d’une génération qui n’a pas connu la guerre dans ses frontières autrement que dans les cours d’histoire, ou dans les cérémonies mémorielles. Je fais partie de la deuxième ou troisième génération à qui l’on a enseigné la Seconde Guerre Mondiale et la Shoah,
Face au sentiment de déclassement qui nourrit la tentation de la violence, ou au contraire du fatalisme, et de la résignation, nous avons besoin d’une réponse éducative, culturelle, citoyenne, dans laquelle l’éducation populaire doit jouer un rôle majeur. Et cette réponse, c’est à nous de la construire.

Echangeons ensemble