Discours d'accueil - premières Rencontres de l’Éducation Populaire
Discours d'accueil - premières Rencontres de l’Éducation Populaire
Discours d'accueil - premières Rencontres de l’Éducation Populaire
Impossible d’ouvrir ce Conseil municipal, sans marquer un temps pour dénoncer la guerre en Ukraine déclenchée par Vladimir Poutine. C’est une vraie fierté de constater combien notre ville depuis 10…
Tribune parue dans Libération, à l'occasion des Rencontres Nationales de l'Education Populaire. Philosophie éducative autant que multiplicité d’acteurs, l’éducation populaire couvre une diversité d’espaces qui ont en commun la confiance…
Entretien avec André Laignel, Vice-Président de l'Association des Maires de France et Maire d'Issoudun.
Le débat proposé par l'Etat sur un projet d'autoroute entre Limoges et Poitiers n'est pas sérieux. Le calendrier n’est pas sérieux, le projet en lui-même n’est pas sérieux, et pourtant, les besoins de notre territoire sont sérieux.
L’expérience de la COP26 a quelque chose de l’ordre de la sidération. C’est l’avantage d’un regard semi-extérieur : il n’est pas aux prises avec le caractère grisant des négociations (qui peut vite aveugler sur les enjeux réels)
Avant tout, il faut l’assumer d’emblée : la COP26 n’a pas permis de « sauver les 1,5°C ». Le Pacte de Glasgow n’est pas du tout à la hauteur de l’urgence climatique. Alors qu’il devait « sauver l’objectif des 1,5° », il hypothèque une fois de plus notre avenir en le soumettant à des engagements dilués et insincères des États.
Aujourd’hui, nous nous réveillons avec une petite victoire : l’inscription du rôle des collectivités dans le préambule de la future déclaration de Glasgow a été retenu.
Aujourd’hui, c’est dans l’espace des négociations officielles que je vous emmène, à l’occasion du #CitiesDay. Chaque journée de COP avait une thématique particulière ; aujourd’hui, c’était la journée dédiée aux collectivités. C’est par ailleurs le dernier jour officiel des négociations.
La COP26 doit se terminer ce vendredi 12 novembre à Glasgow, mais elle pourrait être prolongée, faute d'accord, après dix jours de négociations. Invitée de France Bleu Poitou, la maire de Poitiers Léonore Moncond'huy fait part de son inquiétude face à l'issue de la conférence.